Voici mon prologue pour l'histoire... que je vais essayer de terminer... :
La pluie ne cesse de tomber. Chaque gouttelette s’écrasant les unes après les autres contre la paroi embuée de la fenêtre. Chaque gouttelette meurt dans un son cadencé, formant une douce mélodie à mes oreilles. Mieux vaut ça que les hurlements provenant de la chambre d’à coté.
Même avec l’oreiller sur ma tête, j’entends ces voix, j’entends ces cris. Jamais ils ne s’arrêtent. Je regarde la pluie qui tombe, parfois j’ai l’impression que le temps est suspendu. Les goûtes se figent, les sons se taisent. Plus rien d’autres que le silence, plus rien d’autres que le battement de mon cœur… puis, retentis le son d’un vase fracassé contre le mur. Le temps poursuit sa course, faisant couler mes larmes un peu plus à chaque seconde.
La pluie n’en fini plus de tomber. J’ai une vie… mais quelle vie. Elle tombe en morceau. Des parties de moi qui ne peuvent plus être remis en place. Même mon reflet dans la vitre ne me ressemble plus. Et plus je leurs parlent, plus ils se disputent…
J’avance à travers la pièce. Les dalles froides de la salle de bain me glace le sang. J’ouvre le robinet, dépose mes mains dans l’eau… qui devient rouge presque instantanément. Je baisse la tête. Des morceaux de miroir recouvrent le sol. Je ne sens plus ma main droite.
Sa ne s’arrête plus. Mon souffle devient saccadé, je n’arrive plus à me calmer. Les larmes ne coulent plus. Je regrette chaque journée passée. Chaque instant ou il m’ont dit que tout irait mieux, que je serais protéger. Que toujours, jamais je n’en souffrirai.
Sa m’est tellement égale maintenant. Plus rien n’a d’importance. Mon regard devient flou, mes forces m’abandonnent. Je m’effondre sur le sol au milieu des morceaux de miroirs brisés. Ma peau est glacée… plus rien…
La pluie ne cesse de tomber. Chaque gouttelette s’écrasant les unes après les autres contre la paroi embuée de la fenêtre. Chaque gouttelette meurt dans un son cadencé, formant une douce mélodie à mes oreilles. Mieux vaut ça que les hurlements provenant de la chambre d’à coté.
Même avec l’oreiller sur ma tête, j’entends ces voix, j’entends ces cris. Jamais ils ne s’arrêtent. Je regarde la pluie qui tombe, parfois j’ai l’impression que le temps est suspendu. Les goûtes se figent, les sons se taisent. Plus rien d’autres que le silence, plus rien d’autres que le battement de mon cœur… puis, retentis le son d’un vase fracassé contre le mur. Le temps poursuit sa course, faisant couler mes larmes un peu plus à chaque seconde.
La pluie n’en fini plus de tomber. J’ai une vie… mais quelle vie. Elle tombe en morceau. Des parties de moi qui ne peuvent plus être remis en place. Même mon reflet dans la vitre ne me ressemble plus. Et plus je leurs parlent, plus ils se disputent…
J’avance à travers la pièce. Les dalles froides de la salle de bain me glace le sang. J’ouvre le robinet, dépose mes mains dans l’eau… qui devient rouge presque instantanément. Je baisse la tête. Des morceaux de miroir recouvrent le sol. Je ne sens plus ma main droite.
Sa ne s’arrête plus. Mon souffle devient saccadé, je n’arrive plus à me calmer. Les larmes ne coulent plus. Je regrette chaque journée passée. Chaque instant ou il m’ont dit que tout irait mieux, que je serais protéger. Que toujours, jamais je n’en souffrirai.
Sa m’est tellement égale maintenant. Plus rien n’a d’importance. Mon regard devient flou, mes forces m’abandonnent. Je m’effondre sur le sol au milieu des morceaux de miroirs brisés. Ma peau est glacée… plus rien…